mardi 17 novembre 2009

Journée à Lyon pour la relation Chine-France

J’ai fait la connaissance de 2 universités à Lyon aujourd’hui - je suis étonnée par leurs dimensions : les immeubles de différents époques et de différents styles collés un à côté d’autres, on ne voit pas le début ni le fin de campus. Avec ma voiture et la GPS, je m’en sors plutôt pas mal pour trouver ma direction …Ca ma fait penser à mon université à Shanghai, je ne plus imaginez de parcourir toute sa territoire à pied comme il avait 9 ans. Hélas, je suis devenue esclave du temps et du moyen de transport moderne.

La recherche du lieu de conférence « la relation Chine-France » à IAE Lyon m’a un peu perturbé mais je m’en suis sortie après 20 minutes d’aller-retour dans la même immeuble; et la conférence ne m’a vraiment pas déçu. Elle est intéressante du fait que cette relation Chine-France est interprété par les sentiments des gens de différents métiers : écrivant de romains, géopolitique, chef de PME, chargé de SSI de France… Mais aussi, que l’auditorium était remplit de l’audience.

Personnellement je suis complètement épatée par les opinions de Mr. Régis de GABORY – c’est exactement ça comment le (gouvernement) chinois a défini la stratégie de développement économique de Chine, et c’est bien de présenter les vérités tel qu’il est par un français aux français. Tout à fait d’accord avec lui qu’il n’est pas important de juger si le message est pessimiste ou pas, l’importance c’est de le comprendre, et réagir.

D’autre part, dommage que je n’ai pas pu lui retrouver à la fin de conférence pour une discussion plus personnelle. J’envie de lui dire, ou plutôt, de dire à tous qui sont intéressé par la Chine, que la stratégie du gouvernement chinois n’est jamais cachée : on trouve les communications de la stratégie économique facilement sur tous les média : des sites web, à la radio, aux revus… en chinois. Eh oui, il faut bien apprendre le chinois pour comprendre les chinois. C’est de ce point de vu là que Je regrette qu’il n’avait pas une entreprise comme ChinAttitude à l’époque, car si les non-chinois ont appris le chinois qui leur permet de rechercher des informations actuelle, la compréhension de la stratégie chinois n’aura pas du prendre cette retard qui est non-négligeable… c'est-à-dire 8 ans minimum.